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    Maïtena Douménach, dite Marie Laforêt, née le 5 octobre 1939 à Soulac-sur-Mer (Gironde) et morte le 2 novembre 2019 à Genolier (Suisse), est une chanteuse et actrice française, naturalisée suisse.

     

    MARIE LAFORET

     

     

     

     

    MARIE LAFORET

    Origine de ses noms

    Son premier prénom, Maïtena, d'origine basque, ayant la signification d'« aimée », est donné parfois par des habitants du Languedoc, surtout des Pyrénées, et ressemble au diminutif local de Marie-Thérèse, Maïthé. Le nom de famille de son père, Douménach, est d'origine catalane (correspondant à Domenech en catalan).

    L'artiste, qui répugne à toutes les sortes d'exclusivismes nationalistes, s'est caractérisée elle-même plus d'une fois comme « ariégeoise »

     

    Enfance et adolescence

    Marie Laforêt naît à Soulac-sur-Mer, en Gironde, dans la villa Rithé-Rilou, appelée ainsi d'après les noms de sa tante et de sa mère : Marie-Thérèse et Marie-Louise Saint Guily. La famille de son père, l'industriel Jean Douménach, était originaire d'Olette, village des Pyrénées-Orientales, situé sur les rives de la Têt. Son arrière-grand-père du côté paternel, Louis Doumenach, avait dirigé à Lavelanet, en Ariège, une entreprise textile (effilochage), et son grand-père avait construit des cabanons à Soulac en Gironde en 1886.

    Pendant la guerre, son père fut détenu comme prisonnier de guerre en Allemagne et Marie, sa sœur Alexandra et leur mère connurent beaucoup de privations. À trois ans, selon les révélations ultérieures de la chanteuse, elle subit par un voisin un traumatisme sexuel sévère, dont les souvenirs la marquèrent pour longtemps. Elle évoque cet épisode traumatisant et d'autres épisodes dans l'émission de Thierry Ardisson.

    Pendant la guerre, les Doumenach trouvèrent refuge à Cahors et dans la commune des ancêtres, Lavelanet. Après la guerre et le retour du père en mai 1945, la famille vécut à Valenciennes, où le père dirigea un atelier de constructions ferroviaires, tandis que Maïtena faisait sa scolarité au lycée de filles Watteau jusqu'en cinquième. Ensuite les Doumenach s'établirent à Paris.

    Après s'être rapprochée de la religion et avoir réfléchi un temps sur l'idée d'aller au couvent, elle suivit à Paris des études au lycée Jean-de-La Fontaine, où elle commença à éprouver un intérêt vif pour ses premières expériences du jeu dramatique, qui eurent pour elle un bénéfique effet cathartique..

     

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    Carrière

    Sa carrière commença après qu'elle eut remporté le concours « Naissance d'une étoile », organisé par Europe no 1 en 1959. Elle y aurait remplacé sa sœur au pied levé... et put décrocher un rôle dans un film de Louis Malle, Liberté. Remarquée par Raymond Rouleau, elle fréquenta les cours de théâtre de celui-ci. Le projet de film de Louis Malle fut en fin de compte abandonné et finalement c'est avec Alain Delon et Maurice Ronet dans Plein Soleil de René Clément qu'elle fit sa première apparition remarquée au cinéma.

    Les rôles se suivirent, en 1961 elle épousa le réalisateur Jean-Gabriel Albicocco (1936-2001), qui la fit tourner dans deux de ses films : la Fille aux yeux d'or d'après le roman d'Honoré de Balzac et Le Rat d'Amérique d'après celui de Jacques Lanzmann, avec un autre chanteur comédien, Charles Aznavour. En février 1963 sortit son deuxième 45 tours (après la BO du film de Marcel Moussy Saint-Tropez Blues en 1960, qu'elle enregistra avec son ami d'enfance Jacques Higelin), qui marquera sa carrière pour toujours. Ce fut l'avènement des Vendanges de l'amour, énorme succès, écrit par Danyel Gérard.

    Après sa rupture avec Albicocco, elle se maria avec Judas Azuelos, homme d'affaires d'origine marocaine juive, son mari entre 1965-1967 dont elle eut ses deux premiers enfants (dont la réalisatrice Lisa Azuelos), puis en 1971 avec Alain Kahn-Sriber, homme d'affaires et collectionneur d'art dont elle eut son dernier enfant.

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    Les tubes s'enchaînèrent : Frantz en 1963 (duo avec Guy Béart), Viens sur la montagne et la Tendresse en 1964, Katy cruelle et la Bague au doigt en 1965, Marie-douceur, Marie-colère, adaptation de Paint it black, Manchester et Liverpool et la Voix du silence, version française de Sounds of silence en 1966. En 1967, Ivan, Boris et moi fut un succès populaire ainsi que Mon amour, mon ami. Fin 1968, Marie Laforêt revint en force dans les hit-parades grâce au gros tube Que calor la vida.

    À la fin des années 1960, elle entama un tournant et souhaita orienter sa carrière vers des titres plus personnels et notamment puisés dans les folklores américains et européens, sorte de « world music » dont elle sera une pionnière en France. Dans cet état d'esprit, elle chante à l'Olympia en 1969 (récital gravé sur disque), à Bobino l'année suivante et au Théâtre de la Ville en 1971-72. Cette période située entre 1968 et 1972, fut sans doute la plus riche et la plus authentique sur un plan artistique, l'amenant sur les scènes du monde entier. C'est également à cette époque qu'elle signa ses textes sous le pseudonyme de Françoise They. Mais cela ne plaît pas à CBS, sa nouvelle maison de disques. Ils attendaient des tubes et des chansons légères. Marie Laforêt, elle, avait envie de berceuses yougoslaves et de rythmes brésiliens (elle travailla notamment avec Egberto Gismonti et l'Argentin Jorge Milchberg). La chanteuse signe alors chez Polydor et après un dernier album très personnel en 1972 qui fut un échec commercial, elle décide de renoncer à ses goûts musicaux pour se laisser guider par ses producteurs et répondre aux attentes d'un public plus large.

    Plusieurs grands succès populaires marquèrent cependant cette période commerciale : Viens, viens, adaptation d'un tube allemand, Mais je t'aime, L'Amour comme à 16 ans, Tant qu'il y aura des chevaux, en 1973, Cadeau, en 1974, adaptation du tube country No Charge, Maine-Montparnasse, en 1976, Il a neigé sur Yesterday, en 1977, chanson-hommage aux Beatles. En août 1977, elle décide d'aller s'installer en Suisse et annonce renoncer aux enregistrements, afin d'échapper à la surmédiatisation et pouvoir écrire des livres dans l'anonymat.

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    Un autre homme important dans sa vie et qui l'initia à la fin des années 1970 au marché de l'art fut Pierre Cornette de Saint Cyr, commissaire priseur, écrivain et collectionneur d'art. Elle s'installa à Genève en 1978 où elle tint, jusqu'en 1981, une galerie d'art. Elle y exerça aussi la profession de commissaire-priseur. Cependant, en 1979 elle revint aussi au cinéma dans Flic ou voyou aux côtés de Jean-Paul Belmondo et de Michel Galabru.

    En 1980, elle épouse Pierre Meyer. Après un détour par la littérature avec la publication de Contes et légendes de ma vie privée chez Stock, Marie Laforêt se consacre surtout au cinéma, en France bien sûr, mais aussi en Italie. Son rôle le plus marquant alors fut dans le film argentin Tangos, l'exil de Gardel, qui obtint le prix du jury à Venise en 1985. Peu de disques sortent malgré quelques tentatives en 1982 par exemple avec Blanche nuit de satin (reprise de Nights in White Satin du groupe The Moody Blues).

    Le 7 septembre 1990, elle épouse l'agent de change Éric (Georges Just) de Lavandeyra dont elle se séparera en 1994. Elle revient en 1993 avec un album dont elle signe tous les textes, sans pseudonyme cette fois, Reconnaissances dont seront issus deux singles Genève... ou bien et Richard Toll. En 1994, la chanteuse publie une compilation en quatre volumes, parcourant ses 30 ans de carrière discographique. La compilation s'appellera Fragile de A à Z déclinée également en quatre volumes séparés (Fragile de A à H, Fragile de I à L, Fragile de L à P et Fragile de P à Z). Une compilation des meilleurs titres sortira également sous le titre Éventail 1963-1993. La carrière de Marie se poursuit pendant les années 1990 au cinéma, dont Tykho Moon d'Enki Bilal. En 1998, son album Voyages au long cours contient dix-sept inédits enregistrés sur scène lors d'une tournée mondiale (1969-1970). Elle y chante en anglais (Barbara Allen), en espagnol (Cabrestero), en italien (Cicerenella), en russe, en roumain aussi bien qu'en français (Marleau). Marie Laforêt a beaucoup chanté sur scène des chansons restées inédites comme Mon cœur se balance composée sur une musique de Mendelssohn.

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    En 2001, elle publie Mes petites magies, livre de recettes pour devenir jeune, un livre de recettes de beauté. En 2002, elle publie Panier de crabes : les vrais maîtres du monde, un livre engagé ou elle dénonce les dérives de la finance, monde qu'elle a côtoyé à travers son mari Éric de Lavandeyra.

    Après avoir joué Maria Callas, dans Master Class pour laquelle elle eut d'excellentes critiques (nomination aux Molières en 2000 pour son interprétation), elle remplace Isabelle Mergault dans la pièce de Laurent Ruquier la Presse est unanime en 2003. Elle a également joué durant un mois à l'Espace Cardin en 2004 dans Jésus la Caille de Francis Carco. Elle participe chaque semaine sur Europe 1 à l'émission de Laurent Ruquier On va s'gêner.

    Marie Laforêt remonte sur scène du 14 au 16 juillet 2005, dans le cadre du Festival Juste pour rire de Montréal, qui sert d'avant-première à une série de spectacles au théâtre des Bouffes-Parisiens, à Paris, du 12 au 24 septembre 2005, pour son premier tour de chant depuis 1972. Le public français, et même international, est au rendez-vous, le spectacle se joue à guichet fermé. Après deux ans d'attente, une série de concerts pour septembre 2007 et une tournée d'adieux sont annoncées, puis annulées à la suite de problèmes de santé de la chanteuse.

    La même année, sur son quatrième album Six pieds sous terre, Robert (auteur-compositeur de la scène alternative française) reprend la Prière pour aller au paradis créée par Marie Laforêt en 1973.

    Marie Laforêt a été mariée cinq fois et est la mère de trois enfants : Lisa Azuelos (née en 1965), la réalisatrice du film LOL, Jean-Mehdi-Abraham Azuelos (né en 1967) (enfants de Judas Azuelos) ainsi que Ève-Marie-Deborah (née en 1974, fille d'Alain Kahn-Sriber).

     

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    Filmographie

    1959 : Bonsoir Marie Laforêt court-métrage de Jean-Gabriel Albicocco pour la TV américaine faisant partie d'une série de court-métrages sur différentes jeunes actrices de la Nouvelle-Vague
    1960 : Plein Soleil de René Clément: Marge Duval
    1961 : Saint-Tropez Blues de Marcel Moussy: Anne-Marie [avec Jacques Higelin comme partenaire)
    1961 : La Fille aux yeux d'or (Lion d'Argent au Festival de Venise 1961) de Jean-Gabriel Albicocco: La fille
    1961 : Les Amours célèbres, sketch Les comédiennes : Mlle Georges
    1961 : Le Rouge et le Noir (du roman de Stendhal) de Pierre Cardinal : Mathilde de La Mole
    1962 : Los 4 golpes (les 4 coups) court-métrage (durée 4mn) inédit de et avec François Truffaut et Marie Laforêt (présenté par la Cinémathèque française en 2014)
    1962 : Le Rat d'Amérique de Jean-Gabriel Albicocco: Maria
    1962 : Leviathan (Grand Prix de la critique Festival de Venise) de Léonard Keigel: Angèle
    1963 : Cherchez l'idole de Michel Boisrond
    1963 : À cause, à cause d'une femme de Michel Deville: Agathe
    1964 : La Chasse à l'homme de Édouard Molinaro: Gisèle
    1965 : Cent briques et des tuiles de Pierre Grimblat: Ida
    1965 : La redevance du fantôme (TV) (Prix Albert Ollivier 1966) de Robert Enrico : Miss Diamond
    1965 : Le Soldatesse (des filles pour l'armée) Prix spéçial d'Argent au Festival International du Film de Moscou 1965 - de Valerio Zurlini: Eftichia
    1965 : Marie-Chantal contre le docteur Kha de Claude Chabrol: Marie-Chantal
    1967 : Le Treizième Caprice de Roger Boussinot: Fanny
    1967 : Jack of Diamonds de Don Taylor: Olga
    1968 : Kean un roi de théâtre (TV) de Marcel Moussy: La Comtesse Elena de Koefeld
    1970 : La Hobereaute (opéra parlé de Jacques Audiberti), mise en scène Georges Vitaly, en différé de l'Hôtel de Béthune-Sully dans le cadre du Festival du Marais, réalisation de captation de pièce de théâtre de Philippe Laïk : La Hobereaute
    1972 : Le Petit Poucet de Michel Boisrond: la reine
    1977 : Emmenez-moi au Ritz (TV) de Pierre Grimblat: apparition en tant que Marie Laforêt
    1979 : Flic ou voyou de Georges Lautner: Edmonde Puget-Rostand

     

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    Films suite

    1982 : Les Diplômés du dernier rang de Christian Gion: Dominique
    1982 : Que les gros salaires lèvent le doigt ! de Denys Granier-Deferre: Rose (non créditée au générique)
    1984 : Les Morfalous de Henri Verneuil: Hélène Laroche-Fréon
    1984 : Pauline ou l'écume de la mer (TV) de Patrick Bureau, d'après une pièce de Gabriel Arout : Pauline
    1984 : Joyeuses Pâques de Georges Lautner: Sophie Margelle
    1985 : Le Pactole de Jean-Pierre Mocky: Greta Rousselet
    1985 : Tangos, l'exil de Gardel (Grand Prix Spéçial du Jury Festival de Venise 1985) de Fernando Ezequiel Solanas: Mariana
    1987 : La Piovra 3 (TV) série en 4 épisodes de Luigi Perelli: Anna Antinari
    1987 : Sale Destin de Sylvain Madigan : Marthe Marboni
    1987 : Fucking Fernand de Gérard Mordillat: Lotte
    1987 : Il est génial papy ! de Michel Drach: Louise
    1988 : Le Loufiat (TV) de Annie Butler : Françoise May (la star)
    1989 : La Folle journée ou Le mariage de Figaro de Roger Coggio: la comtesse
    1989 : La Bugiarda (TV), deux épisodes, de Franco Giraldi : la Signora Elvira
    1990 : L'Avaro de Tonino Cervi: comtesse Isabella Spinosi
    1990 : Per una fredda mattina di maggio de Vittorio Sindoni : une journaliste politique
    1990 : 4 Piccole donne (TV) série en 4 épisodes de Gianfranco Albano : la mère des quatre filles
    1990 : Présumé dangereux de Georges Lautner: Théa
    1991 : Cane sciolto 3 (L'affaire Rodani) (TV), deux épisodes, de Giorgio Capitani : Hélène
    1992 : Tutti gli uomini di Sara de Gianpolo Tescari: la mère de Sara
    1994 : Jeudi 12 (TV) de Patrick Vidal : la directrice de l'agence de publicité
    1994 : A che punto è la notte ? (TV), deux épisodes, de Nanni Loy : la signora Chantal Guidi
    1995 : Ainsi soient-elles de Patrick et Liza Alessandrin: la mère de Marie
    1995 : Dis-moi oui... de Alexandre Arcady: Mme Villiers
    1996 : Chienne de vie (TV) de Bernard Uzan : Françoise (comédienne de théâtre)
    1996 : Adrien Le Sage (TV) de Jacques Monnet : la comtesse de Pontigny
    1996 : Tykho Moon de Enki Bilal: Éva
    1997 : Héroïnes de Gérard Krawczyk: Sylvie
    1997 : C'est la tangente que je préfère de Charlotte Silvera : Pétra, la vérité
    1997 : La Durite (court-métrage 16 minutes) de Philippe J. Cotten
    1997 : Desierto di fuoco (TV) de Enzo G. Castellari : Rama
    1998 : Villa Vanille (TV), deux épisodes, de Jean Sagols : Pronia
    2000 : Jeux pour mourir
    2001 : Le Syndrome de l'adhésif
    2003 : Le Président et la voyante - projet - non tourné
    2008 : Les Bureaux de Dieu de Claire Simon

     

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    Théâtre

    1969 : La Hobereaute de Jacques Audiberti, mise en scène Georges Vitaly, Hôtel de Béthune-Sully
    1973: Le partage de midi de Paul Claudel, mise en scène de G.-H. Régnier, Théâtre de Bourges, le rôle d'Isé
    1992: L'Ecorce Bleue de Marguerite Yourcenar, lecture dans le cadre du Festival de Carpentras le 29 juillet 1992 à 22 h. Théâtre de Plein Air.
    1997: le Vietnam de Marguerite Duras, lecture accompagnée par l'ensemble Ca Tru Thai Ha de Hanoï, Festival de Saint-Florent-le-Vieil, donné à l'Abbatiale le 28 juin 1997
    1999 : Master Class de Terrence McNally, mise en scène Didier Long, Théâtre Antoine
    2000: Master class de Terrence McNally, reprise pour quelques représentations exceptionnelles du 18 au 30 avril 2000 à l'Opéra Comique de la ville de Paris
    2003 : La Presse est unanime de Laurent Ruquier, mise en scène Agnès Boury, Théâtre des Variétés
    2004 : Jésus la Caille de Francis Carco, mise en scène Jacques Darcy, espace Pierre-Cardin
    2008 : Master Class de Terrence McNally, mise en scène Didier Long, Théâtre de Paris
    2009: L'hirondelle inattendue opéra de Simon Laks, récitante, orchestre philharmonique de Marseille sous la direction de Lukasz Borowics, Festival des musiques interdites de Marseille

     

     

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    ORTF

    Marie Laforêt en tant que chanteuse a tourné plusieurs centaines d'émissions au sein de l'ORTF (télévision française), voici celles qui l'ont mise au premier plan:

    2 novembre 1966 BIENVENUE Production: Guy Béart - Réalisation: Raoul Sangla Invités: Le Mime Marceau, Marie Laforêt, Les Enfants Terribles, Avron & Evrard, Les Troubadours,Guy Béart.
    21 octobre 1967 SHOW MARIE LAFORET (Portrait de Marie Laforêt) Production: Michèle Arnaud - Réalisation: Pierre Koralnik (réalisateur d'origine suisse) - Show en noir et blanc avec en filigrane une interview sans concession de Marie Laforêt par Jacques Lanzmann.
    11 février 1968 CA C'EST LA VIE MARIE LAFORET Réalisation: Raoul Sangla
    30 mars 1970 DISCORAMA 70 Réalisation: Raoul Sangla Présentation: Denise Glaser Invités: Marie Laforêt, Serge Lama, Brigitte Fontaine et Jacques Higelin.
    11 avril 1970 PODIUM 70 Production: Arlen Papazian - Réalisation: Jean-Paul Carrère - Présentation: Georges de Caunes.
    25 juin 1971 A BOUT PORTANT MARIE LAFORET
    21 février 1973 LE GRAND ECHIQUIER de Jacques Chancel - Réalisation: André Flederick GUY BEART et ses invités: Marie Laforêt, Juliette Greco, Patachou, Isabelle Aubret, Ivan Rebroff, Jean-Louis Barrault et Madeleine Renaud.
    2 novembre 1974 TOP A MARIE LAFORET Production Maritie et Gilbert Carpentier - Réalisation: Marion Sarrault.
    14 novembre 1976 AUTOPSIE D'UN SPECTACLE - RECITAL MARIE LAFORET Production: Liliane Bordoni et Patrice Bellot - Réalisation: Marion Sarrault.

     

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    Récompenses et nominations

    1964: Grand Prix du Marathon de la chanson française pour "Les Vendanges de l'amour"
    1964: Grand prix de la chanson de l'été pour "Viens sur la montagne"
    1964: Grand prix du Juke-Box d'Or italien pour "La Vendemmia dell'amore"
    1988: nomination au César de la meilleure comédienne dans un second rôle pour "Fucking Fernand"
    2000: nomination au Molière de la comédienne pour Master Class
    2006: Reçoit le Trophée "Femmes en or" pour le récital "Marie chante Laforêt"
    2009: nomination au Molière de la comédienne pour Master Class

     

    MARIE LAFORET

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    Pour vous cette chanson que j'adorre

    Manchester et Liverpool 

     

     

     

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