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1963, quatre 45t pour Henri Salvador
Sortie : 1963 chez Disques Salvador / Philips (432.868 BE)
Pochette : André Gornet, et R.T.F.
Voir : Henri SALVADOR
Et aussi : Bernard MICHEL (Auteur-Compositeur) - Manou ROBLIN - André GORNET (Photographe) - Christian CHEVALLIER
Face A1 : Retour au porteur (Return to sender", du film « Des filles, encore des filles ») (Otis Blackwell - Winfield Scott - H. Salvador)
Face A2 : Dis-moi que tu m’aimes (Gisèle Molard - H. Salvador)
Face B1 : Va-t’en vite, mon amour (Go away little girl) (Gerry Goffin - Carole King - Rudi Revil - Manou Roblin)
Face B2 : Minnie, petite souris (Pepino the italian mouse) (Ray Allen - Wandra Merrell - B. Michel)Orchestre : Christian Chevallier
Retour au porteur
Dis-moi que tu m’aimes
Va-t’en vite, mon amour
Minnie, petite souris
Sortie : 1963 chez Disques Salvador / Philips (432.999 BE)
Pochette : Pierre A. Spitzer
Voir : Henri SALVADOR
Et aussi : Bernard DIMEY (Auteur-Compositeur) - Bernard MICHEL (Auteur-Compositeur) - Maurice PON (Auteur-Compositeur) - Christian CHEVALLIER
Face A1 : Le martien "The Martian Hop" (Spirit - R.L. & S. Rappaport - B. Michel)
Face A2 : L’inspiration (M. Pon - H. Salvador)
Face B1 : Count Basie "Li’l Darlin’" (Neal Hefti - Mario Filip)
Face B2 : Syracuse (B. Dimey - H. Salvador)orch: Christian Chevallier
Le martien
L’inspiration
Count Basie
Syracuse
Sortie : juin 1963 chez Disques Salvador / Philips (432.919 BE)
Pochette : A. Gornet
Voir : Henri SALVADOR
Et aussi : Georges ABER (Auteur-Compositeur) - Bernard MICHEL (Auteur-Compositeur) - René ROUZAUD (Auteur-Compositeur) - André SALVET (Auteur-Compositeur) - André GORNET (Photographe) - Christian CHEVALLIER
Face A1 : Monsieur boum boum "Mr. Bassman" (Johnny Cymbal - B. Michel)
Face A2 : Sûrs de nous (H. Salvador - R. Rouzaud)
Face B1 : Grosse fille pleure pas "Big Girls Don’t Cry" (Bob Crewe - R. Gaudio - Salvador)
Face B2 : Cœur brisé à prendre "One Broken Heart For Sale" (Otis Blackwell - W. Scott - A. Salvet - G. Aber)orch: Christian Chevallier
Monsieur boum boum
Sûrs de nous
Grosse fille pleure pas
Cœur brisé à prendre
Sortie : décembre 1963 chez Disques Salvador / Philips (434.825 BE)
Pochette : Pierre A. Spitzer
Voir : Henri SALVADOR
Et aussi : Bernard MICHEL (Auteur-Compositeur) - René ROUZAUD (Auteur-Compositeur) - Christian CHEVALLIER
Face A1 : Annie "Little Eefin’ Annie" (J. McCrea - B. Morre - B. Michel)
Face A2 : Cherche la rose (R. Rouzaud - Salvador)
Face B1 : Tout ça c’est pas grave "It’s No Big Thing" (Kal Mann - Dave Appel - B. Michel)
Face B2 : Interview du martien (Salvador)Orch: Christian Chevallier
Annie
Cherche la rose
Tout ça c’est pas grave
Interview du martien ***
*** Un grand merci à mon ami OLDIE pour sa participation spontanée
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La Belle au bois dormant est un ballet en un prologue, trois actes et cinq tableaux représenté pour la première fois le 15 janvier 1890 au Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg, avec une chorégraphie de Marius Petipa et sur une musique de Piotr Ilitch Tchaïkovski (opus 66), inspiré du conte de Charles Perrault et des frères Grimm.
Historique
Il existait déjà une version de Jean-Pierre Aumer représentée pour la première fois le 27 août 1829 à l'Opéra de Paris, sur une musique de Ferdinand Herold et un livret d'Eugène Scribe. Dans cette version, Marie Taglioni tenait le rôle d'une naïade, tandis que Lise Noblet remplissait celui d'Iseult.
La version de Tchaïkovski est un hommage à la France de l'Ancien Régime (la musique de l'apothéose sans parole qui n'est donc pas un hymne elle-même et qui clôt le ballet, n'est autre qu'une parodie de la chanson Vive Henri IV ! composée par le maître de chapelle Eustache Du Caurroy sur une mélodie empruntée à un ancien noêl populaire présent dans le recueil de Christophe de Bordeaux (1581) et réutilisée également dans un Bransle coupé de l'Orchésographie de Thoinot Arbeau (1588) datant d'avant l'avénement d'Henri IV, puis devenue un des hymnes de circonstance de la royauté) dans laquelle Marius Petipa inscrit des mouvements d'ensemble construits avec rigueur, et des pas de solistes brillants qui figurent parmi les morceaux les plus accomplis du répertoire classique. Ce ballet s'est d'ailleurs imposé comme son chef-d'œuvre.
Composition
Le 25 mai 1888, le directeur des Théâtres impériaux de Saint-Pétersbourg, Ivan Vsevolojski, fit part à Tchaïkovski d'une idée au sujet d'un ballet basé sur le conte de La Belle au bois dormant de Charles Perrault. Tchaïkovski n'eut pas la moindre hésitation et accepta la mission, malgré le peu de succès de son précédent ballet, Le Lac des cygnes. Le scénario qui fut donné à Tchaïkovski pour qu'il compose était basé sur la version des Frères Grimm du conte, intitulée Dornröschen, dont la fin diffère avec les parents de la Princesse (le Roi et la Reine) ayant survécu aux cent ans de sommeil pour célébrer le mariage de leur fille. Vsevolojski ajouta des personnages d'autres contes dans le troisième acte.
Le chorégraphe Marius Petipa écrivit une liste d'instructions détaillées concernant les morceaux dont il avait besoin. Tchaïkovski travailla chez lui à Frolovskoye, où il commença quelques esquisses durant l'hiver de 1888, et l'orchestration de l'œuvre le 30 mai 1889.
Le ballet met indéniablement en évidence le conflit entre le Bien (la fée des Lilas) et le Mal (la fée Carabosse), représentés chacun par un leitmotiv repris plusieurs fois au cours du ballet, servant de fil conducteur à l'intrigue sous-jacente. Ces deux leitmotivs ne réapparaissent plus dans le troisième acte, pour laisser place aux danses des nombreux personnages. Le tsar Alexandre III et sa famille assistèrent à l'une des répétitions générales du ballet. Avant de partir, le tsar fit la simple remarque « très joli », qui sembla avoir irrité Tchaïkovski, qui s'était attendu à une réponse plus favorable.
Le ballet fut représenté pour la première fois le 15 janvier 1890 au Théâtre Mariinsky à Saint-Pétersbourg, où il reçut un accueil plus favorable que Le Lac des cygnes auprès de la presse, mais Tchaïkovski n'eut pas la satisfaction de voir le succès immédiat de son œuvre dans les théâtres hors de Russie. Il meurt en 1893.
En 1903, le ballet est classé deuxième des ballets les plus représentés du répertoire du Ballet impérial (derrière La Fille du Pharaon de Cesare Pugni et Marius Petipa) et a été représenté environ 200 fois en dix ans.
La Belle au bois dormant est le ballet le plus long de Tchaïkovski : il dure presque quatre heures et est donc souvent abrégé lors des représentations.
Représentation
Première de Saint-Pétersbourg (Première mondiale)
Date : 15 janvier 1890
Théâtre : Théâtre Mariinsky, Saint-Pétersbourg
Maître de ballet : Marius Petipa
Chef d'orchestre : Riccardo Drigo
Mise en scène : Mikhaïl Botcharov, Henrich Levogt, Ivan Andreïev, Matveï Chichkov
Costumes : Ivan VsevolojskiPremière de Moscou
Date : 17 janvier 1899
Théâtre : Théâtre Bolchoï
Maître de ballet : Alexandre Gorsky
Chef d'orchestre : Andreï Arends
Mise en scène : Anatoli Helzer, Karl WalzInterprètes originaux
Rôle Saint-Pétersbourg 1890 Moscou 1899
Florestan XIV Feliks Krzesinski
La Reine Giuseppina Cecchetti
Princesse Aurore Carlotta Brianza Lioubov Roslavleva
Fée des lilas Marie Petipa M. Gratchevskaïa
Carabosse Enrico Cecchetti Vassili Helzer
Prince Désiré Pavel Gerdt Ivan Khlioustine
L'Oiseau bleu Enrico Cecchetti
Princesse Florine Varvara Nikitina
Orchestration
Instrumentation de La Belle au bois dormant
Cordes
1 harpe, 1 piano, premiers violons, seconds violons, altos, violoncelles, contrebassesBois
1 piccolo, 2 flûtes, 2 hautbois, 1 cor anglais, 2 clarinettes (en si bémol et la), 2 bassonsCuivres
4 cors (en fa), 2 cornets (en si bémol et la), 2 trompettes (en si bémol et la), 3 trombones (2 ténors et 1 basse), tubaPercussions
timbales, cymbales, grosse caisse, caisse claire, tambourin, triangle, tam-tam, glockenspielRef : Wikipédia
La belle au bois dormant
Orchestre symphonique de Londres
Direction Pierre Monteux
Introductio et Prologue
marche, pas de six
Acte I
valse, pas d'action & finale
Acte II
farandole & panorama
Acte III
polaca & pas de quatre
Acte III siute et fin
pas de caractère, pas de deux, finale & apothéose
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